Documents  HISTOIRE | enregistrements trouvés : 400

- 478 p. , 1 PAC

Par quels mouvements, par quels choix une ville passe t'elle d'une organisation quasi médiévale à ce statut de "capitale de XIX ème siècle" ?grace à une iconographie inédite on suit pas à pas les péripéties de cette aventure, de Louis 16 au président Fallières, du néo-classicisme aux floraisons de l'Art nouveau, des balbutiements de la photographie à l'éclosion du cinéma.

XIXe SIÈCLE ; HISTOIRE ; IMMEUBLE DE RAPPORT ; LOGEMENT ; RUE ; VILLE ; URBANISME ; ESPACE PUBLIC

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- p. 95 , 74 PH

L'histoire de la Seine, dés origines à non jours, à travers ses crues et ses inondations.

VOIE D'EAU ; SEINE ; HISTOIRE ; AMENAGEMENT DES BERGES

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- p. 124 , 73 PH

Récit sur le Paris des années 20 à travers le cours de la Seine.C'est la mémoire et la magie d'une ville qui nous sont révélées : les cabarets sur les rives, les fêtes nautiques, les quais et les bouquinistes, les mariniers...

VOIE D'EAU ; HISTOIRE ; SEINE

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- p. 157 , 45 PEP

Depuis 1912, la Bièvre a totalement cessé de couler à ciel ouvert dans Paris, victime des siècles de mauvais traitements que ses riverains, teinturiers, tanneurs, meuniers, industriels, lui ont infligés. Pour autan, la rivière n'a jamais cessé d'enfiévrer les imaginations au point qu'on évoque aujourd'hui sa restitution partielle dans la capitale.

VOIE D'EAU ; BIEVRE ; HISTOIRE

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- 199 p , 11 IFV

Qu'est-ce qu'une ville nouvelle? Saint-Quentin-en-Yvelines a déjà connu quatre générations d'habitations et autant de formes de logements. En un siècle, elle a expérimenté les cabanons et les pavillons, les barres et les espaces verts, comme autant de témoignages des cultures urbaines. C'est cet héritage que propose de découvrir ce livre, à travers l'étude du logement.

VILLE NOUVELLE ; HISTOIRE ; HABITAT ; TYPOLOGIE DE L'HABITAT ; LOGEMENT ; CITE-JARDIN ; BATIMENT D'HABITATION EN BARRE ; TOUR ; CUISINE

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, 9 IVF

Catalogue de l'exposition : "Le centre, vous y êtes !". Saint-Quentin-en-Yvelines a réalisé son centre en dernier contrairement aux autres villes nouvelles de la région parisienne. Si l'Ecomusée s'est penché sur le berceau du centre ville, c'est qu'il porte à travers les quinze années de conflits, d'hésitations et de projets abandonnés toute la complexité de la Ville Nouvelle avec ses enjeux politiques et identitaires.

VILLE NOUVELLE ; AMENAGEMENT URBAIN ; ANALYSE URBAINE ; CENTRE URBAIN ; HISTOIRE ; XXe SIÈCLE ; XVIIe SIÈCLE ; MORPHOLOGIE URBAINE ; PLANIFICATION URBAINE ; COMMERCE

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- 206 p. , 26 PA

Il ne pouvait pas être premis à tous les brasseurs de rêves de faire murir tous les fuits de leur imagination. Il faudrais beaucoup de livre comme celui-ci pour dresser l'inventaire exhaustif des projets sages ou fous, qui depuis quatres siècles ont été élaborés par les architectes et par les urbanistes désieurx d'embellir, de transformer ou de métamorphoser la ville de Paris.

UTOPIE ARCHITECTURALE ; UTOPIE URBAINE ; MONUMENTS HISTORIQUES ; HISTOIRE

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n° 351 - pp. 110-119

De l'empire austro-hongrois à la guerre froide jusqu'à l'effondrement du "bloc soviètique", la ville au bord du Danube cherche à retisser les différentes échelles de la capitale de la nouvelle République slovaque.

URBANISME ; RECONSTRUCTION ; HISTOIRE

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- 337 p. , 3 P4

Histoire et histoire de l'architecture du Marais.

URBANISME ; HISTOIRE ; COMMERCE ; DEVELOPPEMENT URBAIN

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- 254 p. , 4 P1

A Paris, sous l'Ancien régime, le commerce des céréales s'effectuait en 3 points: le port de Grève, le port de l'Ecole et la Halle au blé, ce dernier occupait aux Halles une aire découverte, où l'on s'y procurait les meilleures céréales. L'edifice est présenté à partir d'une analyse fine de commentaires comparés de l'époque et l'éventail des citations permet de reconstituer tout un environnement plastique et humain disparu.

URBANISME ; HISTOIRE ; ANALYSE DE L'ARCHITECTURE ; MORPHOLOGIE ARCHITECTURALE

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- 142 p. , 34 PAE

Dans les années 1930, la Défense Passive mit en uvre des dispositifs de protection des populations. À Paris, quelques milliers d'abris souterrains furent ainsi aménagés dans les caves des immeubles, dans le métro ou dans les anciennes carrières. Parmi eux, 250 intra-muros et une centaine en périphérie étaient étanches, équipés pour répondre à l'éventualité d'une attaque au gaz.

Les bombes tombées sur la capitale durant la Grande Guerre avaient fait près de 800 morts et les armes chimiques étaient apparues sous la forme des redoutables gaz de combat, dès avril
1915. Telles étaient donc bien les catastrophes qu'on redoutait à la veille de la Seconde Guerre mondiale. La capitulation rapide de la France et l'occupation de Paris par les Allemands dès juin
1940 limitèrent toutefois les bombardements de la capitale, qui seront pour la plupart alliés et toucheront l'ouest. Quant à la grande hantise d'une attaque au gaz, elle n'eut heureusement
pas d'actualité.

Restèrent les abris... dont beaucoup ne furent pas démantelés. On en voit les traces et les inscriptions dans de nombreuses caves. Et des structures plus importantes ou plus équipées
peuplent encore les sous-sols des administrations ou des gares. Aujourd'hui oubliés et peu exposés aux regards par nature, les abris souterrains demeurent les témoins d'heures sombres de l'Histoire comme de plus glorieuses, puisque c'est des sous-sols de Paris, à Denfert-Rochereau, qu'a été lancée l'insurrection libératrice d'août 1944. Dans les années 1930, la Défense Passive mit en uvre des dispositifs de protection des populations. À Paris, quelques milliers d'abris souterrains furent ainsi aménagés dans les caves des immeubles, dans le métro ou dans les anciennes carrières. Parmi eux, 250 intra-muros et une centaine en périphérie étaient étanches, équipés pour répondre à l'éventualité d'une attaque au gaz.

Les bombes tombées sur la capitale durant la Grande Guerre avaient ...

URBANISME SOUTERRAIN ; ARCHITECTURE SOUTERRAINE ; HISTOIRE

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- 159 p. , 89 PT

Du milieu du XIXè siècle aux années 1930, les tramways sillonnèrent les rues de Paris et de sa banlieue. Le tram connut son heure de gloire avant d'être emporté par la redoutable concurrence du métro et des autobus. Le dernier spécimen disparu en 1937.Ce n'est qu'un peu plus d'un demi siècle plus tard qu'on se souviendra des vertus du tramway...

TRAMWAY ; TRANSPORT EN COMMUN ; HISTOIRE

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- 411 p. , 47 PB t1

Les tours dans l'agglomération parisienne depuis 1960, projets et réalisations.

TOUR ; UTOPIE ARCHITECTURALE ; HISTOIRE

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, 9 P7

Photographies et histoire de la Tour Eiffel.

TOUR ; HISTOIRE ; XIXe SIÈCLE ; CONSTRUCTION METALLIQUE

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n° 10 - pp. 6-29

La tour d'habitation de la rue Croulebarde à Paris témoigne de l'engagement original de son concepteur Edouard Albert dans les débats de la fin des années cinquante.

TOUR ; HISTOIRE ; URBANISME

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- 17 p , 45 P13 t1

Initiée à la fin des années 60, la dalle des Olympiades, située à l'intérieur d'un îlot bordé par les rues de Tolbiac, Nationale, Regnault et Baudricourt, pose aujourd'hui des problèmes de gestion très importants.Evolution historique de la dalle, description du site, situation sociale et démographique, travaux envisagés ou réalisés.

TOUR ; DALLE ; HISTOIRE ; ANALYSE URBAINE ; DEMOGRAPHIE ; SOCIOLOGIE URBAINE ; PROJET URBAIN

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- 175 p. , 9 P6

A chaque page de l'histoire du petit théâtre du Vieux Colombier racontée par des programmes, les affiches, photographies, surgissent des noms de comédiens, d'auteurs, metteurs en scène, décorateurs qui ont laissé une trace, un sillon.

THEATRE ; HISTOIRE ; HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; ARCHITECTURE DE SPECTACLE ; SCENOGRAPHIE

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- 168 pages , 53 AB

Le Grand Théâtre de Bordeaux, commandé par le maréchal de Richelieu, gouverneur de Guyenne, et édifié par l'architecte Victor Louis, a été inauguré le 7 avril 1780 avec la représentation de l'Athalie de Jean Racine.Classé monument historique, réminiscence de l'Antiquité par son péristyle, l'ouvrage de 88 mètres sur 47 de style néo-classique, s'inscrit dans l'opulent urbanisme bordelais hérité du siècle des Lumières. Il abrite une salle de spectacle d'un millier de places, exemple parfait de théâtre à l'italienne.Après plus de 200 ans d'usages divers ou de transformations successives de ses salles comme de son environnement, il a retrouvé, et sa décoration intérieure bleue, or et marbre blanc d'origine à l'occasion de sa dernière restauration en 1991, et sa perspective de temple des muses avec l'aménagement de la place de la Comédie et du cours du Chapeau-Rouge en 2006.Le Grand Théâtre est aujourd'hui le siège de l'Opéra national de Bordeaux qui y programme sa saison lyrique et les représentations du Ballet de l'Opéra. Il accueille également les concerts symphoniques de l'Orchestre national Bordeaux Aquitaine dans l'attente de la livraison du futur auditorium programmée pour 2008. Le Grand Théâtre de Bordeaux, commandé par le maréchal de Richelieu, gouverneur de Guyenne, et édifié par l'architecte Victor Louis, a été inauguré le 7 avril 1780 avec la représentation de l'Athalie de Jean Racine.Classé monument historique, réminiscence de l'Antiquité par son péristyle, l'ouvrage de 88 mètres sur 47 de style néo-classique, s'inscrit dans l'opulent urbanisme bordelais hérité du siècle des Lumières. Il abrite une salle de ...

THEATRE ; HISTOIRE ; BATIMENT CULTUREL

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- 297 pages , 16 P6

Après de nombreuses rivalités entre maîtres d'ouvrage et artistes, l'Odéon fut inauguré le 9 avril 1782 dans un quartier neuf, ce qui força les architectes constructeurs Peyre et De Wailly à penser en urbanistes. Le " retour à l'antique " orienta ceux-ci vers le parti architectural que nous connaissons et qui caractérise ce " théâtre monumental ". Le théâtre brûla en 1799 puis encore en 1818, ce qui obligea les deux reconstructeurs, Chalgrin et Baraguey, à repenser tous les problèmes théâtraux, y compris les décors et plus spécialement la décoration des plafonds. Au cours des temps, ce sont ensuite des architectes restaurateurs qui ont œuvré à l'Odéon. Si quelques ouvrages de qualité retracent l'histoire théâtrale, on ne s'était guère penché sur la vie et l'œuvre des dix-sept architectes qui pendant deux siècles gardèrent le théâtre en bon état de fonctionnement, participant à l'entretien, à la création de nouveaux plafonds, modifiant les structures, entre autres pour la création d'une petite salle, et qui furent les artisans de la sauvegarde du riche patrimoine artistique du théâtre. Après de nombreuses rivalités entre maîtres d'ouvrage et artistes, l'Odéon fut inauguré le 9 avril 1782 dans un quartier neuf, ce qui força les architectes constructeurs Peyre et De Wailly à penser en urbanistes. Le " retour à l'antique " orienta ceux-ci vers le parti architectural que nous connaissons et qui caractérise ce " théâtre monumental ". Le théâtre brûla en 1799 puis encore en 1818, ce qui obligea les deux reconstructeurs, Chalgrin et ...

THEATRE ; HISTOIRE ; BATIMENT CULTUREL

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