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Documents LEFRANÇOIS Dominique 2 résultats

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- 175 p , 151 AB

Depuis la généralisation de l'usage de l'automobile à partir des années 1950, le parking constitue une figure majeure du paysage urbain. Objet mobile, outil de déplacement, la voiture n'est utilisée cependant qu'un peu plus d'une heure par jour en moyenne. En conséquence, elle stationne la plupart du temps. Or, le parking demeure un impensé de l'architecture et de l'urbanisme, un prototype du non-lieu. Dévolu au bien privé, le véhicule, il s'octroie une place que l'on aimerait souvent concéder à des fonctions plus collectives. Aux yeux des aménageurs, il existe au détriment de l'espace public qui fait l'objet de réhabilitations cherchant à le valoriser tout autant qu'à le pacifier.
C'est particulièrement le cas des grands ensembles analysés dans cet ouvrage. Toujours stigmatisé, caricaturé et associé aux insécurités ou délits qui touchent ces quartiers, le parking s'avère être bien autre chose que les habituels clichés que lui affublent les médias : lieu de trafics en tout genre et d'incendie de véhicules.
Au regard des usages, le parking possède des qualités insoupçonnées. N'est-il pas marqué par la présence des habitants qui le traversent, y séjournent et s'y adonnent à des travaux de mécanique ou de bricolage, bref qui l'investissent ? Aussi convient-il de se demander s'il n'associe pas les qualités du logement à celles de l'espace public, et ne peut en retour participer à la requalification des espaces – public et privé – entre lesquels il s'inscrit.
Depuis la généralisation de l'usage de l'automobile à partir des années 1950, le parking constitue une figure majeure du paysage urbain. Objet mobile, outil de déplacement, la voiture n'est utilisée cependant qu'un peu plus d'une heure par jour en moyenne. En conséquence, elle stationne la plupart du temps. Or, le parking demeure un impensé de l'architecture et de l'urbanisme, un prototype du non-lieu. Dévolu au bien privé, le véhicule, il ...

PARKING ; GRAND ENSEMBLE

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Paniers
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- 192 p.
ISBN 978-2-88474-239-9, 77 AMA

Émile Aillaud (1902-1988) est une figure à la fois centrale et marginale de l'architecture de l'après-guerre en France. Centrale par l'ampleur de son oeuvre, qui va des décors éphémères aux grandes ensembles en passant par l'architecture industrielle. Marginale parce qu'Aillaud s'est touours écarté de l'urbanisme rationnel dominant.
parmis les rares constructeurs de son temps à avoir suscité l'intérêt de la critique d'art, Aillaud a profondément renouvelé l'approche du logement de masse - avec la cité des Courtillières et la cité de la Grande Borne, notamment - et participé aux plus grans projets d'aménagement parisiens, dont la Tête Défense et l'opération des Halles. plus d'un demi-siècle durant, il n'a eu de cesse de proposer une vision poétique de son art, donée sur la courbe et la couleur, avec une attention particulière à la place de l'enfant dans la cité. Cet ouvrage est la première monographie à lui être consacrée depuis 1983.
Émile Aillaud (1902-1988) est une figure à la fois centrale et marginale de l'architecture de l'après-guerre en France. Centrale par l'ampleur de son oeuvre, qui va des décors éphémères aux grandes ensembles en passant par l'architecture industrielle. Marginale parce qu'Aillaud s'est touours écarté de l'urbanisme rationnel dominant.
parmis les rares constructeurs de son temps à avoir suscité l'intérêt de la critique d'art, Aillaud a profondément ...

GRAND ENSEMBLE ; HISTOIRE DE L'ARCHITECTURE ; ARCHITECTURE INDUSTRIELLE ; EGLISE

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