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Documents  éditions Nicolas Chaudun | enregistrements trouvés : 3

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- 175 p , 145 PU

En 1853, Haussmann est nommé préfet de la Seine. Sa mission : reconstruire sur elle-même la vieille capitale du Second Empire. Il appelle à ses côtés le photographe Charles Marville pour fixer le souvenir des ruelles, des placettes, des monuments condamnés par le tracé des « percées » du « préfet éventreur ». Un premier ensemble de ces vues constituera le mythique « Album du préfet ». Nombre de photos de Marville sont aujourd'hui célèbres. Ce qu'on n'a jamais vu, en revanche, c'est leur double, fixé de nos jours, pour le plaisir d'une comparaison édifiante. Marville avait immortalisé ce qui était appelé à disparaître. Pour les besoins de ce livre, le jeune photographe Rémy Castan a saisi, 150 ans plus tard, ce qui devait braver l'éternité. Tout a changé, et pourtant la même ville demeure. Au fond, nos voitures le long des trottoirs ne diffèrent guère des fiacres et des charrettes dételées au pied des maisons borgnes. Celles-ci ont volé en poussière, mais des repères subsistent. Plus qu'Haussmann, c'est l'arrogance des modernes qui a scellé la métamorphose. Pas moins de 80 vis-à-vis jalonnent ce voyage stéréoscopique. En 1853, Haussmann est nommé préfet de la Seine. Sa mission : reconstruire sur elle-même la vieille capitale du Second Empire. Il appelle à ses côtés le photographe Charles Marville pour fixer le souvenir des ruelles, des placettes, des monuments condamnés par le tracé des « percées » du « préfet éventreur ». Un premier ensemble de ces vues constituera le mythique « Album du préfet ». Nombre de photos de Marville sont aujourd'hui célèbres. Ce ...

XIXe SIÈCLE ; PHOTOGRAPHIE

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- 216 p , 33 PA

Il y a 40 ans, l’historien de l’architecture Yvan Christ publiait Paris des utopies, espèce d’inventaire à la Prévert des « grands projets » recalés à l’examen de sortie. C’était les années Pompidou ; Paris pleurait ses halles centrales et Malraux lui-même refusait tout sursis à l’architecture d’Hector Guimard. L’idée d’un pont Napoléon sommé d’une effigie impériale façon colosse de Rhodes passait alors pour une bimbeloterie pittoresque, la démesure corbuséenne la reléguant ad aeternam au placard des nains de jardin. Seulement, les modernes ont passé et, après eux, les postmodernes. Autoproclamé « grand », Paris s’interroge… Il nous a semblé opportun et jouissif de rééditer ce catalogue d’extravagances séculaires. Il y a 40 ans, l’historien de l’architecture Yvan Christ publiait Paris des utopies, espèce d’inventaire à la Prévert des « grands projets » recalés à l’examen de sortie. C’était les années Pompidou ; Paris pleurait ses halles centrales et Malraux lui-même refusait tout sursis à l’architecture d’Hector Guimard. L’idée d’un pont Napoléon sommé d’une effigie impériale façon colosse de Rhodes passait alors pour une bimbeloterie pittoresque, la ...

UTOPIE ARCHITECTURALE

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- 285 p , 115 UV

Au lendemain de la seconde guerre mondiale, la France ne compte plus ses villes martyres. On ne pouvait condamner leur population à vivre plus longtemps dans les planches ; il fallut les relever dans l’urgence. Tiraillée entre régionalisme et modernité, cette architecture de la nécessité, longtemps méprisée, brille par sa cohérence et son idéal d’harmonie. Elle porte à son apogée la maîtrise du béton armé : peu ou point de décor, mais une composition raffinée des façades, l’ampleur et la luminosité des espaces intérieurs… Gilles Plum, docteur en histoire de l’art, relate l’aventure avec conviction. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, la France ne compte plus ses villes martyres. On ne pouvait condamner leur population à vivre plus longtemps dans les planches ; il fallut les relever dans l’urgence. Tiraillée entre régionalisme et modernité, cette architecture de la nécessité, longtemps méprisée, brille par sa cohérence et son idéal d’harmonie. Elle porte à son apogée la maîtrise du béton armé : peu ou point de décor, mais une ...

RECONSTRUCTION ; XXe SIÈCLE

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